Jolavia : A la conquête de l'espace !

La Lune à seulement quelques jours de chez vous...

A ce jour seuls trois États sont capables d'envoyer des hommes dans l'espace : la Russie, la Chine et bien sûr les États-Unis. Ces superpuissances disposent d'une technologie à la pointe et de moyens financiers hors du commun. Mais l'entreprise laihanaise Jolavia par son représentant Joël II compte bien avoir son mot à dire dans cette course à l'espace. Cette ambition admirable est à souligner mais pose également quelques questions légitimes pour un projet de cette envergure.

Un projet pharaonique

Fort du rachat d'EDL pour 7 milliards de laihancs, l'héritier du groupe Jolavia ne compte pas s'arrêter là et ambitionne désormais d'accéder à l'espace ! Dans son premier discours en tant que PDG du groupe Joël II a d'abord rappelé que, malgré un rachat ayant vidé une partie des caisses pourtant bien remplies de Jolavia, l'investissement dans EDL était un "pilier stabilisateur de l'économie et de la puissance de notre groupe". Une étape important dans l'histoire du groupe qui ne devrait pourtant pas avoir de conséquences sur les salariés selon le PDG. Joël II souhaitait également rappelé aux clients et potentiels clients que la santé économique pour Jolavia était pérenne et s'annonce brillante pour les années à venir. Mais le réel point d'intérêt porte sur son projet spatial, une nouvelle qui a surpris l'assemblée en son entier. Une assemblée partagée entre rêves de grandeur et craintes pour les salariés. On remarquera l'intervention expresse de Fab' le leader communiste et candidat au poste de 1er Ministre criant au gâchis pour les revenus de l’État et des salariés.

Ce projet ambitieux comme le rêve soulève de nombreuses problématiques. D'abord concernant le budget nécessaire au fonctionnement. En prenant par exemple le budget de l'ESA (Organisation spatiale européenne) qui est de 4,5 milliards d'euros ou 5,5 milliards pour celui de la Russie on peut légitimement s'interroger sur les capacités du groupe a financé l'opération. Néanmoins, Joël II compte sur un investissement apporté par l'Etat pour éviter de mettre en péril son entreprise (voir après). Se pose également la question de la localisation du site. Un site d'une telle envergure requiert un espace immense quand bien même la Laihanie ne représente qu'un État de petite taille. Enfin se pose la question de l'intérêt stratégique d'un tel projet. S'agit-il davantage d'une réelle opportunité ou d'un caprice d'enfant ? Les laihanais peuvent s'interroger mais seul l'avenir répondra à leurs doutes.

Le soutien de l’État et d'autres entreprises ?

Le PDG du groupe Jolavia ne s'est pas exprimé au nom de son seul groupe mais il a également invité les autres entreprises et surtout l'Etat a participé financièrement au projet d'espace. On s'interrogera là encore sur les intérêts de certaines entreprises dans des situations parfois précoces pour certaines d'entre elles à investir aux côtés de Jolavia au delà du simple effet de communication. Mais plus encore que les autres entreprises, Joël II a appelé l'Etat à l'aider pour un projet commun inédit. Seul bémol : les élections de dimanche. En effet les deux candidats ont des visons largement différentes à ce sujet. Là où un T.P se présente comme un possible soutien au groupe Jolavia avec une volonté d'investir dans les technologies de demain, un Fab',comme le démontre son intervention durant le discours, est clairement un farouche opposant. Les élection seront donc déterminantes pour la poursuite ou non du rêve de Joël II !

Aurélien Ier