Au delà de la vie économique du pays qui est en berne, c'est également la vie politique qui est au plus bas. L'organisation politique que nous connaissons depuis nombre d'années doit être réformée.
Elle doit être revue afin de rendre attractif un pouvoir législatif trop longtemps oublié par les laihanais. Etre sénateur de Laihanie doit être de nouveau une fierté de représenter ses concitoyens. Etre sénateur de Laihanie doit à nouveau avoir une importance dans la vie politique …
Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 20:15 |
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 20:15 |
- PirrickCitoyens
- Date d'inscription : 15/08/2008
Nombre de messages : 1379
Emploi/loisirs : Créateur de Restar Tv
Localisation : 17 Rue De La Jetté/Lac De La Victoire
Age : 30
Humeur : sociable
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 20:18
toi ta cliké 2 fois??
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 20:18 |
- PirrickCitoyens
- Date d'inscription : 15/08/2008
Nombre de messages : 1379
Emploi/loisirs : Créateur de Restar Tv
Localisation : 17 Rue De La Jetté/Lac De La Victoire
Age : 30
Humeur : sociable
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 20:18
toi ta cliké 2 fois??
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 20:18 |
- ClémentCitoyens
- Date d'inscription : 18/08/2008
Nombre de messages : 763
Humeur : Fêtard!
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 20:42
mdr ^^
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 20:42 |
- InvitéInvité
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 21:33
pirrick a écrit:heu... nan xD
pirrick a écrit:ba moi non lus ché aps
Ben alors TA GUEULE !!
et va t'acheter des doigts, ou un cours de Français boulet
ced-01 a écrit:c'est que tu raconte nu truk (style ta life) alors c'est faux c'est nu peu une ficks ou tu es un personnage koi
...
Putain sa devrait pas être permis d'écrire comme cela
Et ensuite ben, voila un RP du plus grand Role Playiste d'ogame
DIAZ ! dit Jack Herer
*INSPIRE D’UNE HISTOIRE VRAIE*
Un léger bruit d’eau, de fines gouttes qui tombent lentement d’un léger cliquetis, un bruit qui semble métallique. Mais comment être sûr que c’était bien de l’eau ? Il le supposait en entendant le battement régulier, un peu comme un cœur qui bat, un peu comme le tic tac précis d’une horloge réglée à la perfection, une horloge dont chaque rouage est si parfaitement réalisé que rien ne s’oppose à la magie de ce mouvement féérique. Cette image de l’horloge le fit sourire, mais le fit également souffrir, brulant sa poitrine, brulant ses poumons, il toussa violement et cracha une substance amère et compacte qui coula ensuite le long de ses lèvres, sur son menton. Il pouvait sentir la chaleur de ce fluide sur le bas de visage. Il pouvait le sentir, mais pas le voir.
Il ne savait même plus lui-même, s’il avait les yeux ouverts ou s’ils étaient fermés. L’effet était le même, il ne voyait rien, il faisait horriblement noir, rien ne laissait passer la lumière, pas même l’ombre d’une fissure dans un mur pour laisser entrevoir quelques rayons somptueux d l’astre du jour. Il ne pouvait que tâter avec ses mains aveugles le sol, le sol si rigide, si rocailleux, si froid et si humide.
Son inspection du lieu fut brève, il était visiblement coincé dans un endroit étroit, il ne semblait pas y avoir de sortir, pas l’ombre d’une issue, les murs qui l’entouraient, étaient irréguliers, courbés, creusés par endroit, ils étaient rocailleux eux aussi, à l’image du sol. Sa première impression était d’être coincé dans une grotte, perdu, seul dans un lieu aussi obscure et aussi sombre que les ténèbres les plus noirs qui résident parfois dans le cœur des Hommes. Seul, il était seul, cependant dans l’obscurité totale, son cerveau travaillait, les images défilaient, sa vie était projetée devant ses yeux, défilant silencieusement, les images chocs s’entrechoquèrent dans sa tête, sans son … puis l’image retrouva le son … à son plus grand malheur : les cris et les pleures mêlés aux larmes, les appels au secours et de détresses, les visages s’affinèrent, marqués par la douleur et la souffrance. Bienvenu en enfer, bienvenu dans le monde que l’on appelle Humanité.
Seul dans le noir, il sanglota silencieusement, versant les larmes de la tristesse, les larmes de la honte, les larmes du désespoir. Il avait mal. Il souffrait. Une douleur physique le tiraillait dans chacun de ses membres, une douleur psychologique, un sentiment de regret le parcouru …
« Tiens le moi cet enfoiré, tiens moi bien cette pourriture … »
Sa voix était emplie de haine, lui-même ne se reconnaissait plus dans son comportement, autrefois si bon et si juste, il était devenu l’inverse de ce qu’il était. Encore la dualité de l’Homme, la lutte éternelle entre un bien et un mal, entre une notion que personne n’arrive parfaitement à discerner : ou se trouve les frontières et sont les limites du mal et du bien ? Existent-ils vraiment ?
« Tu sais comment je m’appelle, tu sais qui je suis ? Tu as pas l’air de comprendre là ? Tu as pas l’air de piger, merde … »
Il continuait à parler, cependant sa voix était légèrement teintée d’un sentiment amer de tristesse comme s’il savait déjà qu’il allait regretter au fond de lui son geste. Son acolyte tenait toujours fermement le jeune homme, le privant de sa liberté de mouvement, attendant avec impatience que son chef donne une bonne correction au prisonnier, un jeune irlandais de petite taille et assez frêle. Qu’avait-il fait ? Ce jeune homme, avec son regard d’ange, pouvait-il vraiment faire du mal à quelqu’un ? En cette après midi ensoleillée, il avait face à lui son créateur, celui qui allait lui mettre sa branlée de sa vie sous motif qu’un geste et une parole avaient été mal interprétés. L’être Humain ne cherche parfois pas à pousser la compréhension plus loin qu’au premier niveau, il ne cherche pas à réfléchir plus loin, se contentant bien souvent d’une brève analyse qui convient à son égo, tellement convaincu que sa déduction est juste qu’il se sent fier. Mais peut-il être réellement fier de penser faussement ? La seule fierté qu’il peut tirer est peut-être d’avoir pris le temps de cogiter quelques minutes … L’important est de participer après tout …
« Salopard d’Irlandais de merde, continua-t-il, tu te rends compte, je vais devoir te faire ta race … »
Il sorti l’opinelle, la lame brillait de mille feux. Il la fit pivoter sur elle-même, un reflet étincelant illumina le visage de l’Irlandais, la lumière était si belle, si brève, ses yeux sentirent la chaleur et se mirent à s’humidifier, son cœur battait à tout rompre, il avait envie d’uriner, envie de crier, envie de pleurer, envie que ce cauchemar prenne fin. Il était crispé devant cette lame, pas devant celui qui la tenait, mais bien devant larme, celle capable de répandre le deuil, la lame capable de faire verser des larmes, la lame qui était l’arme, la lame qui était larme.
Il tenait toujours la lame d’une main qui cachait nullement sa peur, elle était tremblante, ses veines ressortaient, le sang les faisant gonfler sous l’action d’un cœur battant jusqu’à la rupture … la rupture … celle qui vous pousse à plonger et à faire l’impardonnable. Il prit une inspiration, une seule. Aussi court que fut ce moment, il lui paru une éternité, ses mouvements étaient si parfaitement décomposés qu’ils allaient le marquer toute sa vie.
D’un geste rapide, il ouvrit la chemise à bouton de l’Irlandais, coupant un à un chacun des boutons avec la froideur d’une lame silencieuse qui vous enlève tout vos bien sans rien dire, sans même le sentiment de voir en elle l’ombre d’une compassion. Le ventre nu de l‘Irlandais était maintenant visible par son agresseur. D’un geste rapide, toujours en maugréant des choses incompréhensibles, il traça soigneusement dans la chaire les signes de la haine et la bêtise humaine. La lame s’enfonça doucement dans la chaire, la pointe de la lame disparue s’enfonçant toujours un peu plus dans le corps, la peau dans un premier temps ne voulu rompre, semblant suivre le trajet de la lame, puis un léger craquement se fit entendre et la peau, dernière armure céda. L’assaillant laissa glisser son bras, guide de son arme, vers le bas, lentement, laissant sur le ventre de la victime une trainée rougeâtre, puis d’un geste précis et rapide, il fit un arc de cercle d’une courbure si parfaite qu’on aurait dit qu’il avait fait sa toute sa vie. Il n’entendait rien, il prenait du plaisir à faire cela, il aimait faire cela. Son érection en était-elle la preuve ?
L’irlandais hurlait à la mort, pleurant à chaude larmes, il secouait la tête, voulu se débattre, mais il était prisonnier, incapable de se sortir de là, incapable de bouger, juste condamner à une souffrance qui lui paru une éternité. Répétant frénétiquement le mot « Non ! », que pouvait-il dire d’autre. Suppliant qu’on arrête cette torture.
Le boucher retira enfin la lame, puis regarda l’irlandais, leur regard se croisèrent l’espace de quelques minutes. Un long silence. Qui avait le plus peur de l’autre ? L’un avait les yeux rougis par la souffrance et la douleur, sentiment teintée par la pointe sucrée d’une haine qui allait grandissante, l’autre avait les yeux rougis par une haine qui l’avait poussé à agir sans réfléchir, une impulsion diabolique, une envie soudaine de faire le mal, des yeux rougis par une haine, sentiment teintée par une pointe amère de tristesse, de souffrance et de douleur. Dans ses rêves torturés, il avait toujours fantasmé de réaliser un jour ce genre d’actes, de se défouler de la sorte. Mais là, ce n’était pas un rêve mais bien la réalité, il avait en face de lui un homme avec des sentiments, un homme qui pleurait devant lui, un homme blessé au plus profond de sa chaire. Il se sentit honteux, mais après tout cet Irlandais l’avait bien mérité, une bonne branlée, oui, il l’avait bien mérité.
« Maintenant, tu vas ouvrir la bouche … et tu vas l’ouvrir grande … »
Les yeux de sa victime s’ouvrir en grand. Terrorisé, traumatisé à vie, ses mots resteront à jamais gravés en lui comme les fines écritures d’une pierre tombale. Il refusa bien évidement d’obéir, mais malheureusement pour lui, le complice du bourreau ne se fit pas prier pour mettre les désirs de son idole en application.
L’apprenti boucher reprit une nouvelle inspiration comme pour refroidir son corps en pleine transpiration, la montée d’adrénaline était telle qu’il se sentait surpuissant, il avait la réelle impression d’avoir le pouvoir, d’avoir le pouvoir de faire mal et qu’on lui obéisse. Une telle supériorité lui donne des ailes, il ouvrit lui aussi une grande bouche comme si c’était son reflet qu’il avait en face de lui. Il transperça les gencives avec un peu de mal, la lame semblait s’être prise dans la racine d’une dent, il força un peu, retira deux trois fois cette source de souffrance de la bouche de la victime avant de traverser de par en par la gencive, puis d’un geste lourd de conséquence, il fit glisser lourdement le train d’enfer dans un déluge de sang qui avait le gout de la mort pour l’irlandais.
Le massacre dura encore quelque temps … trop de temps … il gisait au sol, perdu, seul lui aussi … laissé par ses immondes barbares comme étant mort.
Du temps passa …
Inexorablement …
Les plaies se referment mais pas les cicatrices …
Le père Don Camillo était un prêtre honnête de sa paroisse, un bon croyant, un homme de valeur et de tradition. Sa journée avait été longue et harassante. Si bien qu’il s’octroya le plaisir de prendre un bon bain. La tête posée sur le rebord de la baignoire, il laissa ses yeux se fermer et s’assoupi quelques minutes. Se laissant bercer par ses rêves et ses cauchemars, certains, ils les avaient littéralement proscris de son passé, le tronquant comme pour se permettre de dire qu’il avait toujours été un Homme bon et juste.
« Alors, mon père, on se prélasse, on se repose, on rêve, on cherche à oublier un passé tumultueux. Comment un Homme comme vous a-t-il pu devenir ce qu’il est aujourd’hui. »
Don Camillo releva la tête surpris de voir un inconnu dans sa salle de bain, il balbutia difficilement, essayant de comprendre comment cet homme avait pu entrer sans qu’il n’entende le moindre bruit.
« Qui vous a permis d’entrer chez moi et qui êtes vous ?
- Ah ! parce que tu ne me remets pas ? Faut dire, y’a pas mal de temps qui s’est écoulé depuis la dernière fois qu’on ne s’est vu. »
L’inconnu porta ses mains à sa bouche et retira ses dents qu’il posa distinctement sur le bord du marbre de l’évier. Elles trônaient là fièrement, Don Camillo les regarda fixement puis son regard se porta sur l’inconnu qui tenait maintenant à la main un Beretta quinze coups. Le long de ses joues coulaient des larmes, des larmes pleines de haine, cette même haine qui nous habite tous.
« Tous les matins quand je me rase, c’est ta gueule que je vois … »
Il pointa l’arme dans l’a direction des jambes du père et tira deux balles dans chaque jambe. BANG-BANG ! BANG-BANG !
La première salve fut la plus dure, la plus terrible. Le soulagement, l’accomplissement de s’être vengé après avoir tant galéré, après avoir tant préparé son coup.
Il pleurait, il pleurait maintenant de joie, satisfait d’avoir réalisé son objectif. Puis l’arme se dirigea sur la deuxième jambe et les deux coups partirent aussi rapidement que la lame ancestrale qui avait tant traumatisé son évolution. Il avait vécu dans la peur, dans la crainte, ses nuits étaient horribles. Son passé l’avait poursuivi toute sa vie. Alors les deux dernières balles étaient comme les points de suspension à la fin d’une phrase, la ponctuation nécessaire à une réflexion profonde sur comment on pouvait en arriver là. Sommes-nous des bouchers ?
« Tous les matins quand je me rase, c’est ta gueule que je vois dans le miroir. Maintenant, tous les matins dans ton lit, quand tu pleureras le martyr, c’est ma gueule que tu verras dans tes rêves. »
Le passé fini toujours par nous rattraper, tôt ou tard il faut savoir affronter ses vieux démons et les défier. Les méthodes utilisées ne sont pas toujours les bonnes, l’Histoire nous le montre. Mais peut-on en vouloir à un Homme qui n’a pas obtenu justice de celle qui se dit si juste, d’accomplir lui-même sa propre justice selon les méthodes qu’il estimera les plus prompts à apaiser ses souffrances. La violence en appelle toujours à la violence. Une escalade sans fin, le boulevard des rêves brisés.
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 21:33 |
- InvitéInvité
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 22:05
Si vous avez lu posté pour critiqué, si vous n'avez pas lu allez vous faire mettre \o/
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 22:05 |
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 22:29
doucement les insultes...
en fait ca va etre dur vu qu'il faudrai un forum sans riend dés le épart
désolé ...
en fait ca va etre dur vu qu'il faudrai un forum sans riend dés le épart
désolé ...
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 22:29 |
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 22:39 |
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 22:45 |
- InvitéInvité
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 22:57
UN ADMIN QUI FAIT DU DOUBLE POST ?? 0_0
C'est du jamais vu ...
C'est du jamais vu ...
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 22:57 |
Re: Le coin Poeme
Ven 29 Aoû - 23:00
mais c'est la partie flood ou tout est permis ( sof lé insultes )
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 29 Aoû - 23:00 |
- Mouton SuprêmeCitoyens
- Date d'inscription : 14/08/2008
Nombre de messages : 994
Emploi/loisirs : tenancière du café le plus sympa du pays, et co-propriétaire d'une bientôt-supranationale géantissime avec deux amis ...
Localisation : 6 rue Napoléon
Age : 42
Humeur : kinda in love...
Re: Le coin Poeme
Lun 13 Oct - 20:08
voilà, je viens poster un poème (non, tout le monde ne s'en fou pas), découvert aujourd'hui même en littérature.
(et si vous êtes pas content, plaignez vous auprès de ma partie-romantique-à-la-con, c'est elle qui a eu le dessus xD)
Je t'aime pour toutes les femmes que je n'ai pas connues
Je t'aime pour tous les temps où je n'ai pas vécu
Pour l'odeur du grand large et l'odeur du pain chaud
Pour la neige qui fond pour les premières fleurs
Pour les animaux purs que l'homme n'effraie pas
Je t'aime pour aimer
Je t'aime pour toutes les femmes que je n'aime pas
Qui me reflète sinon toi-même je me vois si peu
Sans toi je ne vois rien qu'une étendue déserte
Entre autrefois et aujourd'hui
Il y a eu toutes ces morts que j'ai franchies sur de la paille
Je n'ai pas pu percer le mur de mon miroir
Il m'a fallu apprendre mot par mot la vie
Comme on oublie
Je t'aime pour ta sagesse qui n'est pas la mienne
Pour la santé
Je t'aime contre tout ce qui n'est qu'illusion
Pour ce coeur immortel que je ne détiens pas
Tu crois être le doute et tu n'es que raison
Tu es le grand soleil qui me monte à la tête
Quand je suis sûr de moi.
- 1950 -
Ce poème provient du recueil intitulé " Le Phénix "
(et si vous êtes pas content, plaignez vous auprès de ma partie-romantique-à-la-con, c'est elle qui a eu le dessus xD)
Je t'aime
(Paul Eluard)Je t'aime pour toutes les femmes que je n'ai pas connues
Je t'aime pour tous les temps où je n'ai pas vécu
Pour l'odeur du grand large et l'odeur du pain chaud
Pour la neige qui fond pour les premières fleurs
Pour les animaux purs que l'homme n'effraie pas
Je t'aime pour aimer
Je t'aime pour toutes les femmes que je n'aime pas
Qui me reflète sinon toi-même je me vois si peu
Sans toi je ne vois rien qu'une étendue déserte
Entre autrefois et aujourd'hui
Il y a eu toutes ces morts que j'ai franchies sur de la paille
Je n'ai pas pu percer le mur de mon miroir
Il m'a fallu apprendre mot par mot la vie
Comme on oublie
Je t'aime pour ta sagesse qui n'est pas la mienne
Pour la santé
Je t'aime contre tout ce qui n'est qu'illusion
Pour ce coeur immortel que je ne détiens pas
Tu crois être le doute et tu n'es que raison
Tu es le grand soleil qui me monte à la tête
Quand je suis sûr de moi.
- 1950 -
Ce poème provient du recueil intitulé " Le Phénix "
Sujet: Re: Le coin Poeme Lun 13 Oct - 20:08 |
Sujet: Re: Le coin Poeme Lun 13 Oct - 22:39 |
- Mouton SuprêmeCitoyens
- Date d'inscription : 14/08/2008
Nombre de messages : 994
Emploi/loisirs : tenancière du café le plus sympa du pays, et co-propriétaire d'une bientôt-supranationale géantissime avec deux amis ...
Localisation : 6 rue Napoléon
Age : 42
Humeur : kinda in love...
Re: Le coin Poeme
Mar 14 Oct - 18:58
ben, j'aime bien ce poème là, parce que ce qu'il dit n'est pas commun. ça change du "depuis que je t'ai vu, je ne vis plus, des milliers de petits cupidons m'ont décroché des flèches en plein coeur, etc etc" (beuuuuuuurk !!!)
Sujet: Re: Le coin Poeme Mar 14 Oct - 18:58 |
- PirrickCitoyens
- Date d'inscription : 15/08/2008
Nombre de messages : 1379
Emploi/loisirs : Créateur de Restar Tv
Localisation : 17 Rue De La Jetté/Lac De La Victoire
Age : 30
Humeur : sociable
Re: Le coin Poeme
Mer 15 Oct - 15:35
c bo mes j'ai rien lu !
Sujet: Re: Le coin Poeme Mer 15 Oct - 15:35 |
- Mouton SuprêmeCitoyens
- Date d'inscription : 14/08/2008
Nombre de messages : 994
Emploi/loisirs : tenancière du café le plus sympa du pays, et co-propriétaire d'une bientôt-supranationale géantissime avec deux amis ...
Localisation : 6 rue Napoléon
Age : 42
Humeur : kinda in love...
Re: Le coin Poeme
Mer 15 Oct - 16:10
ben alors tu dis rien.
dans le genre "je-flood-pour-flooder".... -_-"
dans le genre "je-flood-pour-flooder".... -_-"
Sujet: Re: Le coin Poeme Mer 15 Oct - 16:10 |
- PirrickCitoyens
- Date d'inscription : 15/08/2008
Nombre de messages : 1379
Emploi/loisirs : Créateur de Restar Tv
Localisation : 17 Rue De La Jetté/Lac De La Victoire
Age : 30
Humeur : sociable
Re: Le coin Poeme
Jeu 16 Oct - 17:10
Bah Depuis ke chuis dans l'forum j'fai sa alors is tuv eins de le découvrir -_-' kan découvratu ke j'ai une image ^^
Sujet: Re: Le coin Poeme Jeu 16 Oct - 17:10 |
- Mouton SuprêmeCitoyens
- Date d'inscription : 14/08/2008
Nombre de messages : 994
Emploi/loisirs : tenancière du café le plus sympa du pays, et co-propriétaire d'une bientôt-supranationale géantissime avec deux amis ...
Localisation : 6 rue Napoléon
Age : 42
Humeur : kinda in love...
Re: Le coin Poeme
Jeu 16 Oct - 19:25
j'dirais bien le jour où tu apprendras à écrire, mais c'est méchant...
Sujet: Re: Le coin Poeme Jeu 16 Oct - 19:25 |
Sujet: Re: Le coin Poeme Ven 17 Oct - 17:54 |
- ClémentCitoyens
- Date d'inscription : 18/08/2008
Nombre de messages : 763
Humeur : Fêtard!
Re: Le coin Poeme
Sam 18 Oct - 19:03
Bonjour Cha', choupie =D et puis les autres
Un pti coucou de passage =)
Un pti coucou de passage =)
Sujet: Re: Le coin Poeme Sam 18 Oct - 19:03 |
Sujet: Re: Le coin Poeme Dim 19 Oct - 11:44 |
- ClémentCitoyens
- Date d'inscription : 18/08/2008
Nombre de messages : 763
Humeur : Fêtard!
Re: Le coin Poeme
Dim 2 Nov - 12:30
totalement mais bon t'a l'habitude^^
Sujet: Re: Le coin Poeme Dim 2 Nov - 12:30 |
- Mouton SuprêmeCitoyens
- Date d'inscription : 14/08/2008
Nombre de messages : 994
Emploi/loisirs : tenancière du café le plus sympa du pays, et co-propriétaire d'une bientôt-supranationale géantissime avec deux amis ...
Localisation : 6 rue Napoléon
Age : 42
Humeur : kinda in love...
Re: Le coin Poeme
Dim 2 Nov - 12:33
et moi qui m'étais dit "chouette, clem nous a rajouté un nouveau poème. et ben nan.
Sujet: Re: Le coin Poeme Dim 2 Nov - 12:33 |
- ClémentCitoyens
- Date d'inscription : 18/08/2008
Nombre de messages : 763
Humeur : Fêtard!
Re: Le coin Poeme
Dim 2 Nov - 14:51
nan ^^
jpourrais te raconter ceux de la grd mere qui est passé a la scne ouverte vendredi soir mais jmen rapelle plus ^^
jpourrais te raconter ceux de la grd mere qui est passé a la scne ouverte vendredi soir mais jmen rapelle plus ^^
Sujet: Re: Le coin Poeme Dim 2 Nov - 14:51 |
Sujet: Re: Le coin Poeme |
Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum